Wikipedia nous le dit ainsi : » Une parenthèse, c’est l’insertion dans une phrase d’un élément autonome qui introduit une digression ». Or, de digressions, on en a sans doute tous un peu besoin, alors que l’on s’engouffre dans le long tunnel de l’hiver et que le manque de vitamine D commence à se faire ressentir sur nos humeurs. Alors si en plus elles sont aussi rafraîchissantes que ce que promet d’être le festival Parenthèse, organisé par AFX à Lyon entre le 22 et le 24 novembre, il serait bien inutile de s’en priver.
Trois journées, trois ambiances, et autant d’occasions de s’amuser, tout bêtement, et avec de la bonne musique en prime :
■ Jour 1 : Boule Disco, au Boulodrome du Clos des Canuts. Sur la musique de Franky Fruits (La Salade de Fruits), Kaxime (Kiblind) et Tom ATW (Radio Nova), plusieurs équipes de deux joueurs s’affronteront au jeu de la boule lyonnaise (une sorte de pétanque mais… lyonnaise). Pour équilibrer le match et, pourquoi pas, créer de nouvelles amitiés, les équipes seront toutes composées d’un habitué du boulodrome d’un côté, et d’un festivalier de l’autre. Un jeu de boules en novembre, quoi de mieux pour inviter le soleil ?
■ Jour 2 : Let’s Freak, au Transbordeur. Toute la nuit, de la musique pour s’essouffler à la danse avec, entre autres, les Naïve New Beaters, Léonie Pernet ou La Fraîcheur, mais aussi des performances, une scénographie à l’intérieur et à l’extérieur et tout un tas de stands d’animation autour du dance floor. C’est sûr, l’aube va pointer son nez très vite !
■ Jour 3 : The Kids are Alright, au Transbordeur. Les enfants, pour une fois, auront droit de s’amuser avec les grands, grâce à DJ Sam qui animera une boom chorégraphiée avec Wii Dance et au au collectif Kogumi, qui pour a l’occasion préparé un parcours sonore réservé à la toute jeune génération. La garantie que le soir arrivé, ils ne rechigneront pas à aller se coucher.
Si cette parenthèse vous dit, Nova Lyon peut vous offrir 2 places pour la soirée de samedi au Transbordeur. Pour participer, il suffit de commenter le post sur Facebook de Nova Lyon, ici.