A l’entendre, on pourrait croire qu’il est très nostalgique d’une époque qui n’existera plus telle qu’il l’a connue, mais on peut être nostalgique sans être réac ! Et en allant vers sa boutique rue Henri IV, dans le deuxième, à côté de Perrache, le perceur Marquis nous garantit que l’ambiance et l’énergie étaient quand même bien différentes avant l’arrivée du métro à Lyon.