Le piercing chez lui, ça s’est transformé en une véritable drogue : il lui en fallait un nouveau tous les 15 jours. Et, comme il le dit, le seul moyen de se calmer, c’était… de percer les autres. Du coup, Marquis a ouvert une boutique, qui n’est pas seulement une boutique de tatouage et de piercing mais une vraie galerie d’art, avec une magnifique vitrine qu’il appelle son musée.