Aujourd’hui dans La Potion, le collectif parisien Mawimbi !
Tous les jours dans Nova Lova, Jeanne Lacaille vous propose une chronique sur les musiques rituelles, les rythmes issus des musiques de guérison (traditionnelles ou repassées à la moulinette des musiques actuelles), des plantes ou bien des savoirs hérités racontés par des invité.e.s un peu sorcier.e.s de passage à Nova. Un podcast réalisé par Tristan Guérin.
Voilà huit ans déjà que les DJ et producteurs du collectif Mawimbi secouent les dancefloors de Paris et d’ailleurs, en brassant large et en créant des ponts entre l’immense héritage musical issu de l’Atlantique Noire et des sonorités électroniques très contemporaines. Toutes les antennes dehors, Mawimbi s’est également affirmé, au fil des années, comme un label défricheur dont les artistes – qu’il s’agisse de Loya, d’Onipa ou d’Afriqoi – n’auront aucun mal à se reconnaître dans le mantra de David Byrne : « i hate world music », comprenez « je déteste la musique du monde ». Aujourd’hui, Mawimbi s’apprête à sortir son premier album et lance un kisskissbankbank pour vous proposer de contribuer au financement de la version vinyle de l’album – ils aiment les belles choses que voulez-vous.
Pour La Potion, Adrien et Bertrand du collectif Mawimbi nous dévoilent quelques-unes de leurs formules magiques pour mettre le dancefloor en transe.