Ce qui booste Laureline Gelas et Juliette Treillet c’est surtout les rencontres en soi, l’humain, les récits. Nous cherchons donc des rencontres, en bas des immeubles de la rue Jean Zay quand Dominique, qu’elles connaissent bien, arrive. Tirer le portrait des habitants sur les murs de leur propre quartier, ça pose tout un tas de questions. En attendant, ce qui reste essentiel, c’est l’art dans l’espace public, non ?