Le contraire de la série « Black Mirror » donc.
Des micros nouvelles, de courtes histoires qui dessinent un futur utopique, un futur optimiste, en réaction à la célèbre série Black Mirror, série dystopique avec une vision cauchemardesque de l’avenir. C’est le projet Bright Mirror : une oeuvre collaborative et optimiste. Antoine Brachet nous en parle : il est directeur de l’Intelligence Collective de la société Bluenove, société qui porte ce projet.
Autre différence notable avec la série de Netflix qu’on connaît tous ou presque : dans le projet Bright Mirror, ce ne sont pas des scénaristes professionnels qui bossent.
Alors, la question qu’on se pose tous ce matin, en tous cas moi je me la pose, c’est : est-ce qu’on peut tenir le lecteur en haleine avec une histoire positive dessinant un avenir utopique ? Sous un soleil radieux mais pas trop brûlant ?
Le projet a démarré en février, Antoine Brachet parle de centaines d’histoires déjà écrites. Et il n’y a pas de date de fin, bien au contraire. Bright Mirror reste ouvert aux propositions, aux histoires, aux collaborations… Parmi les évolutions possibles, il y a le passage de la fiction au réel.
Des centaines de millions d’histoires ! Ça c’est de l’utopie. Si vous êtes intéressés… Allez jeter un oeil au site brightmirror.bluenove.com. Vous pouvez aussi envoyer un petit mail à : brightmirror@bluenove.com pour participer au projet
Ou aussi, plus simplement, suivre tout ça sur le site de la revue Usbek & Rica.