Ces attaques seraient, pour certains, une revendication politique contre le droit à la scolarité des jeunes femmes.
Depuis le 30 novembre, date de la première attaque au gaz, on estime à plus d’un millier, les écolières, collégiennes, lycéennes et étudiantes qui ont été exposées au gaz chimique.
Pourtant, les seules personnes emprisonnées en lien avec ces affaires sont des victimes, des journalistes, ou des proches des victimes, qui dénoncent ces empoisonnements…