Focus sur un salaud indéfendable, un loser pas magnifique du tout : l’homme qui tua Jesse James.
Ce qu’il y a de beau avec les westerns c’est que de Buffalo Bill à Billy the Kid, toutes les grandes figures de l’Ouest y ont gagné quelque chose d’épique. Magie du cinéma, même les pires crapules y passent pour de grands romantiques. Cette chronique de Tu parles d’une histoire fait à l’envers en se penchant sur un salaud indéfendable, un loser pas magnifique du tout : Robert Ford, l’homme qui tua Jesse James.