Le fils cadet de Fela Kuti rend hommage aux révolutionnaires avec son quatrième album « Black Times ». Un disque qui incarne ses rêves, ses combats et qui prouve l’immortalité de l’afrobeat. Il se confie lors de son passage au Montreux Jazz Festival.
Réaliser un marathon de festivals sous le plomb de la canicule ? On a tenu le pari harnachés de nos casques, de nos micros et de notre bravoure. Mathieu Girod est allé à l’assaut du Montreux Jazz Festival rencontrer Seun Kuti.
Lors d’une balade au bord du lac Léman – juste avant son concert sur la fameuse scène du Jazz Club – le cadet de l’afrobeat raconte son enfance avec son père, son intégration dans le Egypt 80, et nous présente son quatrième album « Black Times« .