La semaine dernière avait lieu à Las Vegas, le CES – Consumer Electronic Show- soit le plus grand salon du monde consacré aux innovations. Pendant 4 jours, 4000 stands tentent de tirer leur épingle du jeu pour qu’on les remarque : des innovations bluffantes croisent des robots distributeurs de papier toilettes.
Cette année, un français a effectivement tiré son épingle : Nicolas Baldeck qui présentait une patate connectée
Un des autres grands sujets évoqués pendant ce CES : c’est la sextech, autorisée pour la première fois sur le salon (en vrai, beaucoup d’exposants du domaine venait déjà). La recherche de start-up françaises spécialisées dans le domaine s’est avérée peu fructueuse. Il en existait bien une, qui a gagné un prix de l’innovation au C.E.S en 2016, E-Sensory, mais depuis, elle a déposé le bilan.
Pour parler de patate connectée, de la difficulté de financer de la sextech en France, et de tout ce qu’on peut faire de fou avec des sextoys connectés quand on a une âme d’artiste, Tech Paf reçoit :
• Nicolas Baldeck, créateur de la pomme de terre connectée, dont voici la campagne -très drôle – de financement participatif sur Indigogo : https://www.indiegogo.com/projects/the-world-s-first-smart-potato-smartpotato#/
• Christel Bony, fondatrice de E-Sensory, à l’origine de l’écosystème SexTechForGood : https://www.facebook.com/SexTechForGood/
• Aurélien Fache, artiste, développeur, bricodeur … créateur de In Bed With Thomas Pesquet (https://twitter.com/i/status/856167087785508864), de #twittergasm, et de Pussytalk (un dispositif qui permet de recevoir des texto en morse directement dans son corps via un sextoy) entre beaucoup d’autres choses …