Angèle Chatelier nous emmenait ce matin à la découverte d’une association qui lutte pour que les artistes et organisateurs d’événements musicaux limitent leur empreinte carbone.
Une chronique qui part partout où la culture a un sens social, sociétal et humain. Là où les initiatives de politiques culturelles rendent le monde plus beau et plus alléchant.
Depuis janvier et le début des manifestations contre la réforme des retraites, nous sommes nombreuses et nombreux ici à la rédaction à traîner notre micro, nos valeurs et nos combats en manif. Et le plus souvent, nous le faisons en chantant. D’où viennent ces chants qui, depuis qu’en France les foules se soulèvent, ont habillé les révoltes ?
Covid, algorithmes, inflation – à lire sur le ton du journal de 20h —, les artistes émergents galèrent-ils de plus en plus à remplir les salles ? Un décryptage d’Angèle Chatelier.
Cette année, le chatoyant Dour Festival inaugurera une nouvelle scène appelée « Le Garage » où le rock croisera le metal, l’indus, la cold wave ou le punk.
L’ancienne rédaction historique de l’émission culturelle d’Arte se mut maintenant en collectif pour faire vivre de nouveau « ces mondes invisibles et parallèles ».
Une vingtaine de clubs en France se sont engagés à supprimer l’usage des bouteilles plastiques d’ici deux ans. Une initiative bienvenue mais qui coûte à leur économie.
Fragilisés par la pandémie, les clubs berlinois sont pourtant au cœur du modèle économique de la capitale allemande – capitale de la night. Alors pour protéger l’esprit de la nuit, les jeunes berlinois et berlinoises vont avoir le droit à un Pass culture pour faire la teuf.