cinéma
Si la jeune garde peine à convaincre, les papys font de la (belle) résistance.
Notre correspondant Alex Masson était sur la croisette toute la semaine dernière. Il est passé au studio pour revenir sur la 74ᵉ édition du Festival de Cannes. Une édition marquée notamment par les mouvements sociaux ayant agité la France ces derniers mois.
Placée sous le signe des femmes, cette édition se verrait bien tuer les pères…
Pendant que le festival se laisse aller au délirium des polémiques sociétales, un documentaire revient sur l’état de la psychiatrie dans l’hôpital.
Portion congrue pour le cinéma d’animation à cannes cette année. Seulement quatre films. Devinez ou est le meilleur ?
L’application tente de redorer son image.
Pendant que l’Amérique fait son cinéma à la sélection officielle, l’ACID prend des nouvelles du reste du monde.
Toujours interrogatif des fêlures existentielles, Cannes lâche sa part animale avec un sidérant prototype de blockbuster mutant mais à visage humain.
Cannes s’ouvre sur deux portraits de femmes, à l’officielle comme à l’ACID. Deux salles, deux ambiances.