Une pétition pour sauvegarder le mythique Warehouse de Chicago

Des habitants de Chicago cherchent à préserver l’édifice qui a accompagné la naissance de la House Music, là où se tenait, à la fin des années 70, le Warehouse.

« Let’s Talk About Sex! » de Salt-N-Pepa fête ses 32 ans

Dix ans après le premier cas de SIDA détecté aux États-Unis, le trio Salt-N-Pepa dévoilait un tube assaisonné d’un message de prévention.

Drawing Now Art Fair 2023 : une semaine artistique pour les amoureux du dessin

On vous offre des places pour le salon du dessin contemporain du jeudi 23 au dimanche 26 mars 2023 au Carreau du Temple, à Paris.

Park Glee Club, l'histoire de Louis Thomas Achille et de sa chorale lyonnaise

78 tours, partitions, documentaires… un fonds d'archives exceptionnel autour d’un pan de la culture lyonnaise méconnu entre dans la collection de la Bibliothèque municipale de Lyon.

Le Hot Club de Rennes, l'histoire d'un club de Jazz sous l'occupation Nazi

En 1940, en France, ce n'était pas vraiment le moment de se lancer dans le jazz, Le Hot Club de Rennes n'était pas de cet avis.

« Naissance d’une Diva », un roman graphique retrace la vie d’Oum Kalthoum

Au début du XXe siècle, l’Égypte et le monde découvre la voix d’une artiste devenue représentante de tout un peuple au travers de son œuvre et de ses engagements.

« Lire 'Femmes qui courent avec les loups’ de Clarissa Pinkola Estes, c'est ne plus jamais se sentir seule » (Natalia Doco)

Cette semaine, cap sur l’Amérique du Sud en compagnie de la chanteuse argentine Natalia Doco qui dévoile ces jours-ci son nouvel et troisième album : La Sagrada, dix titres composés autour du concept de féminin sacré. Comment se déploie-t-il dans l’univers de Natalia Doco, qui a grandi sur les bancs de l’Église mais s’est aussi frottée aux rituels des peuples amérindiens du nord de l’Argentine, aux contes initiatiques de Clarissa Pinkola Estes et aux pratiques chamaniques du Mexique ? Réponse dans La Potion !

Takeshi Terauchi, un surf rockeur électrique au Japon

Dans les années 60, le Japon découvre Takeshi Terauchi, l’une des figures de proue d’un mouvement culturel, le Eleki Buumu (comprenez « le Boom de l’électrique »). Le label français 180 g lui rend hommage.