On y danse, mais on y explore aussi sa propre sensualité, sa sexualité, sous un mot d’ordre : le respect du consentement.
Lors du premier confinement, alors que les Français souffraient de leur isolement, un collectif fignolait sa création : la Fesste. Issu des communautés libertines, de la fête libre et des communautés sexpositives, ces amis se sont réunis pour créer des événements festifs à leur image. Pour mieux comprendre le concept, notre reporter Paola Guzzo est allée à l’une de leur soirée.
Épisode 1 : Que les fesstivités commencent
Des soirées où le bien-être et la sécurité de toutes et tous est primordial, où la fête se mêle à l’exploration de sa propre sexualité, le tout dans la bienveillance, c’est possible ? Il paraît que oui. Notre reporter Paola Guzzo est justement allée dans un château du 18e siècle, où se tient une soirée du collectif La Fesste. Pour mieux comprendre le déroulement du week-end et les envies du collectif, elle a rencontré l’une de ses créatrices, Isa.
Épisode 2 : Au cœur de la Fesste
Lors du week-end, tout est fait pour responsabiliser les invité.e.s, et leur permettre de profiter d’une bulle de liberté. Balade dans le château aménagé pour l’occasion, du dancefloor à la loveroom, avec Élo, membre du collectif de la Fesste.
Épisode 3 : De la teuf à la Fesste
Le milieu des free party, des rave-party (de la fête libre), d’habitude, ne va pas forcément de paire avec l’exploration pédagogique et consciente de sa propre sexualité. Retour d’expérience de Nael et Léo, que Paola Guzzo a croisé à la soirée.
Épisode 4 : Mots de participants sexpositifs
Pétra n’avait jamais allié la teuf aux soirées sexpositives. Cécile, elle, est une novice de la teuf. Ces deux habituées du milieu sexpositif nous ont confié leur ressenti. Quelles sont les impressions pour cette première ?
Épisode 5 : On débriefe ?
Quelques semaines après le week-end, Paola Guzzo est retournée voir Nico, Isa et Élo, pour un retour à froid. Le week-end a-t-il été à la hauteur de leurs attentes?