Avec François, on n’est pas chaud pour aller au front…
Parce que raison n°1 :
« Si on devait mourir demain, qu’est-ce qu’on ferait de plus, qu’est-ce qu’on ferait de moins ? »
Et pour toutes les autres raisons, le « guérologue » (ouais on invente des métiers dans le Super Nova), Thomas Pons, nous explique pourquoi ce n’est pas l’idée du siècle.