Entre la rue Paul Bert et la place Voltaire, il y a deux ans, un rappeur à la forme olympique et au sens de la syntaxe très solide s’est mis sérieusement au labeur. Trois albums sortis coup sur coup et quelques morceaux plus tard, Tedax Max occupe maintenant une place de choix dans le paysage rap français, sans avoir jamais dissimulé son origine lyonnaise, ni succombé aux sirènes de l’argent facile. Au micro d’Antoine, il se souvient de ses premiers amours de rap, décrit sa façon d’écrire, revient sur sa trilogie Forme Olympique, compare la Guillotière à Harlem et réaffirme son indépendance.
TRACKLIST :
1. Tedax Max – Causes et Pertes
2. C4 Cland – Ici C’est Compton
3. Mac Tyer – Impulsif
4. Secteur A – Une Affaire de Famille
5. Nas feat. Lauryn Hill – If I Ruled The World
6. IAM – Nés Sous La Même Etoile
7. Various – Le Retour du Shit Squad
8. Tedax Max – Sirène
9. Tedax Max – Ambroisie et Nectar
10. Tedax Max – Vite Fait 2
11. Casey – Pas à Vendre
12. Tedax Max – Combine
13. Tedax Max – Premier Dimanche du Mois
14. Tedax Max – JAY-Z sans followers
15. Tedax Max – Grünt
16. Tedax Max – 5 Etoiles
17. Tedax Max – Oliva Biscuit
18. The Diplomats – Let’s Go
19. Tedax Max – Harlem Manhattan
20. Tedax Max – Drillotière
21. Tedax Max – On Perd Nos Ailes
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d’informations.