Le 11 février dernier, le virtuose Sofiane Pamart sortait son album « Letter ».
Hier soir, alors que j’avais écrit et trouvé ce que j’allais vous raconter aujourd’hui, j’ai décidé d’écouter le nouvel album de Sofiane Pamart, qui comme vous le savez était en Chambre Noire hier soir. Je lance son dernier album sorti il y a 6 jours.
Déjà, au premier abord, j’aime beaucoup sa manière de présenter ses morceaux, si on les écoute à la suite, on peut lire : « Dear public, your love saved me from solitude. Forever, sincerely, Sofiane. PS : I wrote this album in Asia ”. Ce qui veut dire « Cher public, votre amour m’a sauvé de la solitude. Pour toujours et sincèrement, Sofiane. PS : J’ai écrit cet album en Asie”.
Alors, pour commencer, c’est moi qui voudrais le remercier, parce qu’hier soir, c’est lui qui m’a sortie de ma solitude et de l’humeur maussade sous laquelle j’étais ensevelie. Le ciel était gris, la nuit tombait, pourtant, j’ai été caressé par une douceur chaleureuse, digne d’un été de juillet. Chaque note de piano m’a emmené un peu plus dans son univers. Un univers doux, tendre et insouciant, où tout semble possible.
Étrangement, ça ne m’a pas étonnée, il avait déjà réussi à me faire quitter la terre ferme avec Clope sur la Lune de Scylla et Isha . Mais là, c’était encore quelque chose de différent. J’ai passé son album en boucle, j’étais dans un tunnel de piano, ce son m’a tellement apaisé. Je me suis évadée le temps de quelques heures, j’étais ailleurs.
À toutes celles et ceux qui vont se lever, si votre journée vous accable déjà alors que vous ne l’avez pas encore commencée, prenez votre portable, votre ordinateur, tout ce qui peut jouer de la musique et taper : Letter de Sofiane Pamart. Vous allez embarquer à bord d’un cocon si doux et si tendre que rien, oui rien ne pourra vous atteindre.
En fin de podcast, Sarah-Lou vous emmène aux États-Unis, une femme a recueilli ce qu’elle pensait être un chien…