En 2014 le monde littéraire découvrait Gauz, écrivain d’origine ivoirienne, avec son premier roman Debout Payé (édité chez Le Nouvel Attila) qui suivait l’histoire et les observations humoristiques et sociétales d’un vigile à double affectation entre un Camaïeu et un Sephora des Champs-Élysées.
En 2017, l’auteur revenait avec Camarade Papa (toujours chez Le Nouvel Attila), toile mettant en scène deux personnages, des migrants ayant quitté leur terre, la France, pour rejoindre l’Afrique.
Aujourd’hui, l’auteur publie Black Manoo chez Le Nouvel Attila, recueil des chroniques parisiennes d’un ancien junkie d’Abidjan, celui qu’on appelle Black Manoo, qui dépeint le quotidien d’un milieu qu’il refuse de qualifier d’« underground », tant ses personnages vivent et travaillent à nos cotés, tout en restant malgré tout « invisibles ».
Au micro de Bintou Simporé, Gauz nous commente les aventures de son protagoniste, lit un passage de son ouvrage, et nous joue le morceau d’un de ses héros du funk ivoirien des années 70 : Gun Morgan.
Visuel © Gauz