Aujourd’hui dans À Ce Qui Paret, Thierry Paret nous raconte la stratégie musicale mise en place par les États-Unis pour mettre la main sur Manuel A. Noriega.
« Cara de Piña », « Face d’Ananas », c’est ainsi que l’on surnommait Manuel Antonio Noriega en raison de la peau de son visage fortement grêlée par la petite vérole. Ne vous y trompez pas si vous trouvez que ce n’est pas très gentil, ce n’est rien à côté de ce que le dictateur du Panama a fait subir à son peuple dans les années 80. Le sulfureux général a dirigé le Panama jusqu’en 1989, avant d’être renversé au terme d’une invasion sanglante orchestrée par Washington. Mais quel rapport, me direz-vous, avec la musique ? Vous allez vite comprendre…