Aujourd’hui dans La Potion, un violoniste aventurier : Théo Ceccaldi !
Tous les jours dans Nova Lova, Jeanne Lacaille vous propose une chronique sur les musiques rituelles, les rythmes issus des musiques de guérison (traditionnelles ou repassées à la moulinette des musiques actuelles), des plantes ou bien des savoirs hérités racontés par des invité.e.s un peu sorcier.e.s de passage à Nova.Un podcast réalisé par Tristan Guérin.
Théo Ceccaldi bouillonne dans tout ce qu’il entreprend… Révélation de l’année aux Victoires du Jazz en 2017, le violoniste s’impose aujourd’hui comme l’un des artisans les plus brillants du jazz contemporain. En solo, duo ou trio, en collectif ou au sein de l’Orchestre National de Jazz, punk ou électrique, Théo Ceccaldi a joué avec des légendes telles que Michel Portal ou Mulatu Astatke, pionnier de l’éthio-jazz. D’ailleurs en ce moment, le violoniste prépare une nouvelle création, KUTU, qui invite deux chanteuses éthiopiennes. A suivre… Mais en bref, Théo Ceccaldi est inarrêtable et vous ne serez donc pas surpris d’apprendre qu’à à peine 35 ans, il a déjà participé à l’enregistrement de plus d’une trentaine de disques. Il vient d’en sortir un là, sublime en tout point : Constantine, un retour aux sources hybride, fantasmé et poétique sur les traces de son père, violoniste pied noir d’Algérie.
Pour La Potion, Théo Ceccaldi revient sur les rituels musicaux qui se transmettent dans sa famille de musiciens, nous emmène dans les nuits de transe de La Gare à Paris aux azmari-bets d’Addis Abeba, et nous présente les magicien.ne.s qui ont marqué son parcours musical.
Crédit © Sylvain Gripoix