Géraldine Sarratia, journaliste et productrice, part à la rencontre d’une personnalité qu’elle interroge sur le rapport qu’il ou elle entretient avec son genre et son identité. Comment compose-t-il ou elle avec son genre ? Se trouve-t-elle féminine, virile ? Se sent-il à l’aise avec les codes de la masculinité ?

Dans ce 48e épisode de Dans le genre, Géraldine Sarratia reçoit Myriam Leroy,  journaliste, écrivaine, auteure de théâtre et féministe engagée qui vit et travaille à Bruxelles. Spécialisée en culture et société, elle fait ses débuts dans de très nombreux médias belges – presse écrite, radio, télé -. Elle se fait remarquer pour son ton, cash et parfois cinglant, son humour, et sa façon de déconstruire le patriarcat et le sexisme et d’interroger les normes de genre. Le genre et la classe sont également au coeur du travail de Myriam Leroy. On la découvrait il y a deux ans avec Ariane, formidable premier roman cruel et féroce comme peut l’être l’adolescence. Elle revient avec un deuxième roman, Les yeux rouges, qui narre une violence de genre des temps modernes : le cyber-harcèlement.  Une expérience que Myriam Leroy a vécue puisqu’elle a été victime en 2013 , d’un raid, une attaque de masse de plus de 10 0000 internautes suite à une chronique télé à charge, sur Dieudonné. 

Dans le livre cela commence sur facebook. la narratrice, journaliste est en contactée par un certain Denis. Il veut l’interviewer pour son blog, il manie comme elle l’humour, il l’admire. Très vite le piège se referme sur la narratrice. 

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