En Chine et à Taipei, c’est la mode de la trap institutionnelle. Et ça vaut le détour.
Il s’appelle Ko Wen-Je, il a 59 ans, il accroche des stylos bics à la poche de sa chemisette, il est favori pour les prochaines présidentielles taïwannaises et… il rappe. Dans la Chronique Loin ce lundi, on parle du rap institutionnel, à Taïwan et en Chine, dont les autorités utilisent le genre le plus populaire du moment, la trap, pour faire passer leurs messages. Un comble, quand on sait que l’industrie du hip hop est largement censurée par les autorités… Clémentine Spiler vous en dit plus.
Visuel : Capture d’écran Youtube