La capacité de notre invité à rendre captivante une conversation n’a d’égale que son énergie et son immense côte de sympathie dans la vie.
Dans la vie mais aussi au cinéma, parce que voilà, il a ce truc là : s’emparer des rôles, les faire exister très fort et bam nous laisser entrevoir la défaillance dans la machine, le petit truc cassé, qui peut faire passer de la franche hilarité à la gorge un peu serrée, ou inversement.
C’est le cas dans le film de Stefan Liberski qui l’amène aujourd’hui : L’Art d’être heureux.
Benoît Poelvoorde répond aux questions de Charline Roux, rythmées par une playlist sur mesure.