Le festival No Border revient du 24 novembre au 3 décembre, avec des concerts à Brest et « hors les murs ».
Vive les tangeantes, les obliques et les diagonales. Un festival de pas de côté à Brest, encore mieux, un festival sans frontières, c’est No Border, 13e du nom. « Un festival qui défend, revendique, chérit et révèle les musiques populaires du monde. »
13ᵉ édition du festival No Border, du 24 novembre au 3 décembre, No Border, ça veut dire sans frontières. Ni mentales, ni physiques, il s’agit d’ouvrir nos écoutilles. C’est un projet qui rassemble plein de sons. Cinq structures se sont penchées sur la prog pendant plusieurs mois. Le Quartz, La Scène nationale de Brest, DROM, Bretagne(s) World Sounds, La Carène et Plages Magnétiques.
Samedi 2 décembre par exemple à la Carène, il y aura :
Le collectif Kokoko! représentant le son des nuits de Kinshasa…
Baby Volcano, également connue sous le nom de Lorena Stadelmann, une musicienne exceptionnelle avec des racines guatémaltèques et suisses.
La flûtiste et chanteuse cubaine Yaïté Ramos et son hip-hop afro-latin puissant sur la condition féminine.
Bien d’autres sons qui viennent des musiques traditionnelles, mais ont envie de faire bouger les frontières. Avant de rouvrir Le Quartz en 2024, le festival bouge encore cette année. NOBORDER, c’est une manière de découvrir la ville à travers plein de lieux et d’événements. Passerelle, centre d’art contemporain, Le Mac Orlan, Le Vauban, la Carène, le Fourneau, Bad Seeds… Voilà, en bref, un festival de balades musicales et de voyage.
13ᵉ édition du festival No Border, du 24 novembre au 3 décembre, à Brest.