On n’en finit plus de découvrir les effets des confinements successifs, de l’isolement, du télétravail…
On connaît bien désormais la notion de zoom fatigue : c’est l’anxiété, parfois le burn out, que peuvent provoquer la surutilisation des plateformes virtuelles, et notamment des visioconférences…
Mais le télétravail a bien d’autres conséquences, comme : le cul qui s’aplatit. Selon l’American Society of Plastic Surgeons, la fondation des chirurgiens esthétiques américains : en 2020, les « petites » opérations de chirurgie esthétique ont régressé, mais les implants fessiers ont cartonné. Au total, l’ASPS enregistre un boom de 22% de ce type d’opérations.
C’est le site ladn.eu qui a repéré cette info… On les remercie… La raison de ce boom chirurgical des fesses : « à force de rester chez nous toute la journée, le galbe de notre postérieur perdrait de sa superbe« , avance le site ladn. La période que nous traversons depuis un an serait propice aux réflexions sur le corps. Le rapport de l’ASPS note d’ailleurs que la pandémie a été autant l’occasion de se faire poser des implants que de s’en faire retirer.
Ce constat de l’American Society of Plastic Surgeons intervient alors que ces derniers mois, plusieurs médias avaient plutôt évoqué une hausse de la demande d’interventions esthétiques liées à l’image que nous renvoie l’ordi, en visioconférence… Bref, les confinements successifs, le télétravail, ont des effets inattendus…
Et vous risquez de trouver vos amis un petit peu changés mercredi, pour la réouverture des terrasses. « Quelque chose a changé chez toi, mais quoi ? Le nez, les pommettes ? Les fesses« . J’ai bien fait de me lever ce matin ! Allez je te paie une bière !