Une chronique de Maxime Gueugneau
Maxime est sur la brèche. À 35 ans, il doit faire le choix de laisser la jeunesse derrière lui et devenir un vieux con. Sa nouvelle devise : « c’était mieux avant ». En même temps, à la lecture de la monographie de Loïc Boyer, Les Images libres, sur la génération qui bouscula la littérature jeunesse, il faut bien admettre qu’avant, c’était quand même pas mal.