Annabelle Perrin nous a transmis la dernière lettre de La Disparition de l’année. Elle vous est dédiée et l’on vous la transmet telle quelle…
Les disparitions sont multiformes : des millionnaires qui voyagent vers le néant et sombrent au fin fond des océans, des oiseaux empoisonnés par un mode de vie anthropocène, des zones humides divisées par deux ces cinquante dernières années, celles et ceux qu’on laisse mourir en Méditerranée…
C’est un hommage à toutes ces disparitions qu’Annabelle Perrin du média La Disparition nous a transmis sous forme de lettre. Une dernière lettre qui vous est dédiée auditeur·ice·s.
« C’est de la disparition que peut naître le geste, que peut naître le mot, que peut naître le quelque chose, rein qu’une toute petite chose«