Ecrire ça permet au moins de poser des questions, à défaut d’y répondre. Et en ces temps privés de relations sociales, Yann Nicol , le directeur de la Fête du Livre de Bron, s’interroge sur la mise en commun de l’art et de la littérature, alors que les éditeurs croulent sous les manuscrits. On en discute sur la scène du théâtre de Fourvière.