Treize ans après la sortie du premier opus, le nouveau film du réalisateur américain, James Cameron, est certainement l’un des films les plus attendus de la décennie.
D’une durée de trois heures, le film met en scène l’histoire du peuple Naa’vi. On y retrouve le soldat Jake Sully, désormais père de famille et nouveau chef de la communauté Naavi, créatures bleues de trois mètres et peuple autochtone de la planète Pandora. Avec sa femme Ney’tiri, ils forment une famille soudée, mais sont vite contraints de quitter leur foyer pour explorer d’autres régions mystérieuses de cette planète, chassés à nouveau par la cupidité des hommes.
En France, le film cumule plus de 5 millions d’entrées en seulement deux semaines d’exploitation en salle, un véritable record ! Avatar 2, la voie de l’eau a même dépassé le milliard de dollars de recette dans le monde.
Le film semble inarrêtable, mais une poignée d’activistes natifs américains sont montés au créneau. Ces derniers reprochent au film d’être calqué sur la véritable histoire des peuples natifs américains ; expropriés de leurs terres et exterminés à petit feu par les colons européens implantés aux États-Unis. En somme, ils reprochent au film une appropriation culturelle…
Une chronique d’Estelle Ndjandjo.