Voilà presque 2 mois que la Russie a envahi l’Ukraine. On parle évidemment des morts, des vies détruites. Mais le patrimoine est lui aussi en danger…
Alors, sur le terrain et sur le web, des bibliothécaires tentent de sauver le patrimoine ukrainien comme ils peuvent. Il y a presque 2 mois au début de la guerre, une bibliothécaire spécialisée en musique, Anna Kijas, lance un appel sur Twitter : « Joignez-vous à moi pour une session virtuelle de sauvetage des données ». Suite à son appel, près de 1 300 bibliothécaires, historiens et internautes du monde entier ont rejoint le mouvement pour sauver le patrimoine numérique ukrainien. Grâce au travail de chacun, Il y aurait à l’heure actuelle 2500 pages enregistrées d’après le Washington Post. C’est 25 milliers de milliards de données. Rien que ça.
Une belle histoire de Eitanite Partouche à écouter dans Ce qui m’a donné envie de me lever ce matin.