Pauline Tralongo utilise son art pour fouiller certains secrets – ceux de la physique ou ceux du futur – et sonder leur ambivalence, entre fiction et réel. Son exposition à la Galerie 1111 jusqu’au 22 octobre s’inscrit dans cette démarche, et fait dialoguer des œuvres de Dürer, de Chagall, de Hockney, avec de curieuses et belles échelles de sa fabrication, qui ont, vous le verrez, un but précis.