C’est le tout premier spectacle de Mélissa Laveaux en tant que conteuse en musique, jongleuse entre l’amour et le meurtre, une affaire de passion, une histoire de vengeance.
Née à Montréal de parents haïtiens, avant de vivre à Ottawa puis à Paris, l’auteure-compositrice et interprète canadienne Mélissa Laveaux revisite dans ses compositions le patrimoine musical d’Haïti, son pays d’origine, sur Radio Siwèl, son dernier opus paru cette année. Maintenant, c’est un tout autre domaine dont elle a choisi de nous faire part….
« Séductrice dans son habit de lumière, Azu est d’abord un vaisseau porte-mémoire de tradition, cachée dans les recoins des bateaux de la traite négrière. Elle devient, au fil du récit, une essence libre et iconoclaste qui se glisse dans la peau des muses les plus connues de l’histoire de l’art occidental. Vengeresse, Azu revendique sa place et punit ses amants. Elle rend visible et donne la parole aux figures d’inspiration que l’histoire aurait enfouies. »
« Et parfois la fleur est un couteau est un parcours initiatique et musical pour adultes, une fresque contée où l’on croise Gauguin et Basquiat, Virginia Woolf, Edmonia Lewis – la sculptrice afro-américaine et amérindienne – ou encore la photographe américaine Diane Arbus et ses images inquiètes. Un spectacle hybride d’inspiration afro-futuriste, pour une voix sensuelle et rebelle, sur des musiques où se mêlent folk canadien et afro-rock haïtien. »
On vous offre des places pour la représentation du jeudi 14 juin sur la scène du Tarmac. Gagnez vos entrées en participant au tirage au sort de la page Nova Aime :
Et parfois, la fleur est un couteau, de Mélissa Laveaux | Paris || les jeudi 14 et vendredi 15 juin à 20h || au Tarmac, 159 Avenue Gambetta dans le XXe || ici l’event || de 6 à 25 euros