Il paraît qu’ils ont un espoir inébranlable, celui que la musique soit un pansement pour les plaies de ce monde. Et leurs pansements à eux sont à base de prods et de batteries bien pensées par Celsius, et de textes et voix façon west-coast, voix de tête mode « enfant énervé » comme il dit, et lui c’est Robinson. Le tout s’appelle Fahron, c’est tout neuf, premiers titres, premier live cet été, premiers clips, et on a déjà envie de les voir partout. La veille de leur concert pour Un Doua de Jazz, ils sont passé par le micro de Nova pour développer un peu cette histoire de pansement.