L’année dernière, le président de la Bolivie a été accusé d’avoir magouillé les élections pour se faire réélire au premier tour. Mais une étude du New-York Times publiée ce dimanche contredit ces accusations.
Le président bolivien déchu Evo Morales a été accusé de tous les maux et contraint à l’exil pour avoir manipulé l’élection présidentielle d’octobre dernier. Et pourtant… Une étude dévoilée par le New York Times remet en cause les accusations de fraude.
Ailleurs dans le monde, une chronique de Cyprien d’Haese dans La Grasse matinale d’Armel Hemme.
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