Hey ! Pour tous ceux et celles qui l’avaient loupé, il y a deux ans lors de son passage au Théâtre de Verdure, c’est la bonne nouvelle de la rentrée…
General Elektriks est de retour en terre paloise, et c’est l’occasion, donc, de ne pas mourir frustré… Car oui, si à 50 ans, tu n’as encore jamais tangué au premier rang d’un concert de General Elektriks, c’est que tu as bien loupé ta vie.
Pourquoi ? Parce que derrière General Elektriks, il y a un homme, Hervé Salters, et que ce type est un véritable orfèvre de la mélodie pop funk et du hip-hop mutant, doublé d’un puissant sorcier du clavier (vintage, de préférence). Quelque peu globe trotter, sa quête d’inspiration l’a conduit à fréquenter les meilleurs groovers de la côte ouest US, Blackalicious et Lyrics Born en tête, avant de revenir squatter un studio secret caché au coeur de Berlin… Une antre où l’homme prend son temps pour peaufiner, à la main, d’ineffables pépites qu’il s’agisse de ballades rêveuses, de hits pour la playlist de Radio Nova ou de tubes imparables sur le dancefloor…
On parle de dancefloor ? C’est là que ça se corse quand, régulièrement, le compositeur génial convie sa bande de musiciens d’exception à le rejoindre sur la route et transformer toutes les salles où ils passent en cocottes minute secouées par des scène d’épilepsie collective… Impossible de résister, vous allez danser et pas qu’un peu… Dans le titre, plus haut, j’annonçais du groove, de l’amour et de la sueur, et je n’exagérais pas, car s’il est un groupe qui mouille la chemise, au sens premier du terme, c’est bien General Elektriks.
De quoi motiver les bordelais de Nasty Joe à tout donner en première partie, et ils ont de quoi, car leur post punk underground bien vrillé se prête lui aussi fort bien à d’homériques et jouissifs pogos.
On vous offre des places avec le mot de passe donné sur la page Nova Aime. Passez le pécho et revenez ci-dessous :
(si l’outil de jeu ne s’affiche pas, actualisez la page)
General Elektriks & Nasty Joe @ Espace James Chambaud, Pau – Lons, vendredi 12 octobre.
? © Erwan Boizot.