Il y a également un morceau idéal pour ce début de Printemps.
Les deux semaines dernières, une partie de l’équipe de Radio Nova délocalisait la radio à l’autre bout du monde, dans cet immense pays australien où ils ont fait un tas de rencontres formidables. Et on le devine, dans leurs oreilles, il y avait bien souvent du Parcels, ce groupe justement originaire d’Australie (de Byron Bay) et dont on a, depuis trois ans, entendu parler bien au-delà des frontières, même très larges, du pays de Nicole Kidman et de Crocodile Dundee. Les Daft Punk par exemple, avaient pu bénéficier de la classe pop de ces Australiens qui savent faire groover, et qui avaient sorti avec le duo français le morceau « Overnight ». Sacré morceau pour sacré carton.
Alors si on vous parle de Parcels, c’est aussi parce qu’un nouveau morceau, de nouveau excellent, « Tieduprightnow », vient de se pointer, et que ce morceau annonce un album, qui devrait arriver à point nommé, soit au moment où le soleil commencera à chauffer suffisamment pour qu’on ait uniquement envie de se mettre dans les tympans ce genre de pop qui fait bouger toutes les parties du corps, et onduler de la tête, en rythme ou sans rythme.
Dans ce clip-là, quelques Images d’Épinal d’une Australie fantasmagorique, avec surfeurs, postérieurs qui se trémoussent, koalas, kangourous (des animaux que tous nos journalistes n’ont pas eu la chance d’apercevoir là-bas, par ailleurs), un clip vidéo que les Parcels justifient, ci-dessous :
« La vidéo est un hommage à nos racines. Conceptualisée par Beatrice Pegard, nous avons tous aimé l’idée de jouer avec le stéréotype australien et comment nous nous adaptons à cette vision. Nous nous sommes donc naturellement tournés vers l’esthétique australienne des années 70 et, bien sûr, la faune emblématique locale. Nous conduisons à travers notre ville natale, Byron Bay, le paradis du surf par excellence, et nous observons ce que cela signifie d’être australien. »
Visuel : (c) capture d’écran du clip de « Tieduprightnow »