Le genre musical des quartiers angolais débarque à Paris.
La musique regorge d’appellation et de registres différents, Nova a toujours été en quête d’en maîtriser tous les aspects et les nuances.
Ces registres musicaux s’expliquent parfois par des origines géographiques, c’est le cas du Kuduro, un genre qui est assimilé à l’Angola, qui a énormément été popularisé par Buraka Som Sistema.
Mais l’histoire du Kuduro remonte à bien plus longtemps, né en Angola, dans le centre-ville de Luanda, à la fin des années 1980 et dans les années 1990 par Tony Amado, considéré comme son pionnier C’est le résultat d’un croisement entre les rythmes traditionnels angolais tels que le Semba, le Kizomba, le Kazukata et le Kilapanga d’un côté, et la techno et la house de l’autre Il est considéré comme l’un des sous-genres de la musique électronique africaine, comme le Kwaito d’Afrique du Sud, mais possède pourtant une identité forte. Elle est ainsi un mouvement musical associé à une danse, qui se pratique en étant raide avec des mouvements accélérés.
Preuve de son audience toujours grandissante, la capitale accueille cette année Le festival I Love Kuduro un festival itinérant et l’évènement le plus important de musique électronique angolaise en live à l’occasion de la TechnoParade, qui reçoit pour la première fois un char de musique africaine. Toutes les infos ici
I Love Kuduro a aussi donné naissance au documentaire I Love Kuduro – De l’Angola au Monde,