Kalakuta Republik a été le lieu d’indépendance de Fela Kuti au Nigéria à son retour des États-Unis, dans les années 70. En grand combat contre la corruption omniprésente dans son pays d’origine au régime dictatorial à cette époque, il a fait de sa résidence un bastion de résistance par la musique, par le plaisir, en s’adonnant à ses réjouissances. Sex & drugs & afrobeat.
En un spectacle de danse moderne, Serge Aimé Coulibaly cherche à retranscrire toutes les facettes du mythe disparu il y a maintenant vingt ans. Le chorégraphe burkinabé s’intéresse alors à cette période faste (mais pas seulement) qui s’est clôturée par la mise à sac et la destruction de son blockhaus voluptueux par mille soldats zombies*. Une légende, on vous dit.
Se chargeant de la teneur éminemment politique de son sujet, le spectacle nous emmène pendant 75 minutes dans les notes du musicien antimilitariste, dans son souffle et dans son mythe.
Kalakuta Republik sera en représentation à La Ferme du Buisson de Noisiel dans le cadre du festival Je danse donc je vis du samedi 20 janvier, mettant le corps au premier plan de toute une journée. Cette expérience est à ne pas manquer, alors on vous offre des places pour que vous ne la manquiez pas. Trouvez là le mot de passe.
Kalakuta Republik, de Serge Aimé Coulibaly | Noisiel || dans le cadre du festival Je danse donc je vis || samedi 20 janvier à la Ferme du Buisson || Allée de la Ferme dans le 7-7 || le festival, sur site de la Ferme du Buisson || ici l’event