On repart à la dérive avec Nicolas Godin épisode 2 : des studios Ferber à l’atelier de lutherie en passant par la Philharmonie
A la dérive avec Nicolas Godin on a continué à explorer la fourmilière, les studios Ferber, dans la campagne du 20eme arrondissement à Paris
JC le maitre des clés, a ouvert toutes les cabines ; certaines habitées par les fantômes de Gainsbourg ou Barbara tandis que Nicolas Godin au piano, jouait son air préféré de Air. En bas, on a vu le chien de Bastien Doremus, sous l’escalier on est tombé sur Emile Omar qui a été un grand programmateur musical de Nova. A la dérive avec Nicolas Godin, on se laisse porter par les vagues, les vents, on croise plein de gens, on fabrique tout sur le moment. On a quitté JC et les studios Ferber, pour se glisser dans un taxi direction la Philharmonie.
Nicolas Godin voulait voir le studio du compositeur Pierre Henry. Le sorcier des sons vivait entouré de ses magnétos à bandes, de ses synthétiseurs et de ses machines des années 60. Ici, on s’est faufilé partout, à la bibliothèque et dans les tous les étages du musée de la musique. Devant chaque instrument, Nicolas Godin a une histoire à raconter, un morceau de Air à nous faire écouter. On est sorti prendre l’air et on a marché jusqu’à chez Greg son luthier. A la dérive avec Nicolas Godin ça continue, on s’échappe, on se libère par la musique, on défie les lois de la gravité…
On vous recommande à fond les disques du Label Fanon piloté par Emile Omar, le nouvel de Roseaux est super beau ! On a pris un taxi direction les mythiques Studios Ferber, rue du capitaine Ferber. On a longé le cimetière du Père Lachaise, fait un stop chez ses copains italiens, traversé la campagne à Paris et au tout au bout du passage, on a vu J.C le maître des clés. A la dérive avec Nicolas Godin, c’est comme à Versailles, on se promène dans des lieux merveilleux…
Le nouvel album de Nicolas Godin s’appelle « Concrete and Glass » et il sera en concert le 9 mai au Botanique de Bruxelles, le 27 juin à la Philharmonie de Paris dans le cadre du festival Days Off, et 24 juillet au MIDI Festival, à Toulon.
Visuel © Fennec Jackal