En rang par deux. C’est l’heure ! Bienvenue à l’école !
L’école de papa, la blouse grise et la craie qui crisse sur le tableau noir ou l’école d’aujourd’hui et surtout celle de demain avec ses souris d’ordinateurs qui s’agitent dans toutes les directions sur la table en classe ou désormais à la maison. La crise du coronavirus a accéléré l’importance de réinventer l’école. Les gamins qui sont nés avec un ordi, une tablette ou un smartphone dans la main, sont comme nous d’ailleurs, accros aux écrans. Et l’école n’en tiendrait pas compte ? Impensable et pourtant tellement vrai ! C’est le constat que tire à l’heure du grand décrochage scolaire, le réalisateur et tellement d’autres choses Martin Meissonnier au fil de trois documentaires. Baptisés
Le Bonheur à l’école, ces trois reportages seront diffusés cet automne sur Canal +. Martin Meissonnier ne se contente pas d’y tirer la sonnette d’alarme, il attire l’attention sur les trains qui arrivent à l’heure voire en avance pour filer la métaphore ferroviaire. Par habitude de penser le monde dans sa globalité et avec l’ouverture qu’on lui connait, Martin Meissonnier qui a entre autres produits pour ceux qui l’aurait oublié des albums mémorables de Fela, King Sunny Adé, Khaled mais aussi Big Men, une rencontre entre raï et reggae et tant d’autres, Martin Meissonnier donc, non content de dénicher des initiatives éducatives, des solutions sur les cinq continents, prolonge l’aventure du Bonheur à l’école par une plateforme interactive ou seront proposés une centaine de films documentaires courts sur des méthodes pédagogiques innovantes. La plateforme qui mise sur l’intelligence collective et la collaboration accueillera un espace de dialogue et d’échanges entre enseignants, parents et élèves afin de nourrir et se nourrir de cette intelligence collective. Pour mener à bout ce projet un appel à financement collectif, un crowdfunding comme on dit, un KissKissBankBank pour être pragmatique est ouvert. «Les premiers résultats sont très satisfaisants » commente l’instigateur du projet. « C’est surtout riche de contact nouveaux, de pistes de travail innovantes. » ajoute-t-il impatient. Pour en savoir plus les réseaux sociaux sont là et la page KissKissBankBank du Bonheur à l’Ecole, Happiness @ School, in english… Ré-enchanter la vie, moi j’aime !