Des péripéties, du mystère et surtout, des cascades.
Tous les matins, dans Pour que tu rêves encore, la matinale de Nova, Marie Transport accompagne une personnalité au travail. La semaine passée, c’était Les Chiches Capon.
Vincent Macaigne vient du théâtre. Il est auteur et metteur en scène de pièces de théâtre. Je suis un pays, En Manque ou encore son adaptation de Hamlet, toutes ont pour point commun une certaine fureur assez jouissive dans l’écriture comme dans la mise en scène. Vincent Macaigne est aussi acteur, on l’a vu dans La bataille de Solférino de Justine Triet, Tonnerre de Guillaume Brac, ou Eden de Mia Hansen Love.
Mercredi prochain (le 16), il sera à l’affiche de Doubles Vies, le dernier film d’Olivier Assayas, avec aussi Guillaume Canet, Juliette Binoche et Nora Hamzawi. C’est l’histoire de tromperies amoureuses, d’un marivaudage parisien dans un milieu de l’édition qui ne sait plus comment faire face à l’avenir.
Pour parler de ce monde en décomposition où l’on continue à s’aimer, Vincent Macaigne et Marie Transport ont pris un taxi jusqu’à la Place d’Italie. Dans le taxi, il n’était pas d’accord sur grand chose et Vincent Macaigne avait peur des autres conducteurs sur le périphérique. Et puis Marie Transport a accompagné Vincent Macaigne sans sa quête d’un jouet pour nourrisson dans le 13e arrondissement. C’est ainsi qu’ils ont passé plus d’une heure dans un magasin de jouet dont le propriétaire est aussi magicien.
Ils ont aussi enquêté pour comprendre pourquoi le 13e arrondissement est envahi par des oursons en peluche géants. Partout où ils vont, ils en voient. Qui sont ces oursons ? Quels sont leurs réseaux et pourquoi tout le monde trouve ça normal ? Tout ça avant de se quitter sans rancoeur devant une pizzeria doté d’un four à bois.
En podcast
Épisode 1 : « Moi j’ai très peur du périph’ »
Marie Transport découvre que Vincent Macaigne a vraiment peur en voiture même quand elle roule à 21 m/h sur le périphérique. Ils arrivent tout de même à parler de Double Vies, le film d’Olivier Assayas qui sort mercredi un peu partout en France. À un moment, Marie Transport force Vincent Macaigne à être d’accord avec elle.
Épisode 2 : « Les hommes sont bons et c’est d’autant plus tragique »
Marie Transport et Vincent Macaigne évoquent les pièces de théâtre de Vincent Macaigne, Je suis un pays et En Manque, qui ont pour point commun de décrire une certaine fin du monde. L’occasion de se rappeler les petites folies des spectateurs de ces pièces, que la mise en scène de Macaigne semble parfois plonger dans une forme de transe.
Épisode 3 : « Je n’ai jamais eu de baskets à scratch »
Vincent Macaigne et Marie Transport partent pour une longue quête : un jouet pour nouveau-né que l’acteur veut acheter pour l’enfant d’un ami. Ils traînent d’abord au centre commercial Italie Deux, dans le XIIIe arrondissement de Paris, tout en fouillant dans les traumas d’enfance de Vincent Macaigne, avant de se résoudre à chercher un magasin de jouet pour enfant hipster.
Épisode 4 : « Pourquoi y a autant de pizzeria place d’Italie ? »
La quête pour le jouet parfait continue. Mais Marie Transport et Vincent Macaigne l’interrompent quand même un peu pour enquêter sur la prolifération de gros nounours dans tous les magasins du 13e arrondissement de Paris. Pour ça, ils se rendent dans une antenne de Stéphane Plaza, où Vincent Macaigne essaie de soudoyer un employé pour lui prendre son nounours et ainsi clore les deux quêtes en même temps. Malheureusement, l’employé est incorruptible, la quête du jouet pour nourrisson continue donc et passe par le 44 avenue des Gobelins.
Épisode 5 : « Je viens de me casser la gueule dans les jouets »
Dans cet épisode, Vincent Macaigne et Marie Transport passent beaucoup beaucoup de temps dans le petit magasin de jouets de la rue des Gobelins. Toutes les peluches sont inspectées, ainsi que les jouets pour adultes. Vincent Macaigne oblige tout le monde à regarder sa bande annonce et Marie se casse la gueule.
Vous pouvez également réécouter le périple de Marie Transport et Vincent Macaigne en intégralité.