« Rock », ce mot qu’on utilise invariablement pour décrire tout le spectre allant des Clash à Calogero, ce mot écrit en lettres pailletées sur tout un tas de t-shirt pour petites filles fabriqués au Bengladesh par des petits garçons, ce mot que tant de publicitaires ont essoré de toutes ses complexités pour le transformer en argument marketing à deux balles, ce mot, est-ce qu’il a encore un sens ? Avec le dernier album de Tamar Aphek, All Bets Are Off, Antoine Boj vous prouve que oui.