A l’occasion de la sortie d' »Inherent Vice », BlowUp revient sur la représentation de la drogue au cinéma.
Au cinéma comme à la ville, la drogue se consomme, se vend, se transporte, se transforme, sert à s’encanailler, à s’oublier et à se perdre. Et si c’est un sujet qui a, depuis toujours, inspiré les artistes (nous avions déjà évoqué la représentations des paradis artificiels en art), nombre de cinéastes se sont également servis de la drogue comme sujet.
Evidemment il y a des films emblématiques – Scarface, Requiem for A Dream, Midnight Express ou Las Vegas Parano, mais force est de constater qu’il y a mille et une façons de représenter le sujet. Et à l’occasion de la sortie du film Inherent Vice de Paul Thomas Anderson, Blow Up (ARTE) a décidé de faire un sujet dédié aux liens entre les drogues et le cinéma. Du joint récréatif à la descente en enfer sous héroïne, le cinéma n’a de cesse de nous parler de drogues et de toutes les formes qu’elles peuvent prendre. Au programme, le Big Lebowski, Traffic, Hair, Pineapple Express, Sauvage Innocence, La Nuit nous Appartient, Easy Rider, Oslo 31 août – soit un tableau complet et complexe des représentations de la drogue.