La chanteuse tunisienne nous présente un morceau qui, pour elle, symbolise son pays.
La chanteuse tunisienne Emel Mathlouti nous présente « Awel Nadhra », morceau de Hédi Jouini qui la ramène, nostalgique, à une époque qu’elle a vécu à travers les images, et symbolise, pour elle, la musique de son pays.
Cette année, Emel a profité de la quarantaine pour enregistrer un disque, « The Tunis Diaries », dans l’intimité de son salon. Ce nouveau long-format, enregistré loin du luxe des studios, est divisé en deux parties « Day » et « Night » (Le jour et la nuit.), qui correspondent chacune à 9 titres.
À écouter donc, 9 ré-interprétations de son catalogue et 9 reprises de classiques où Emel s’essaye à la plume de Leonard Cohen, de Black Sabbath ou encore de David Bowie, avec « The Man Who Sold The World ».
Vous pourrez retrouver Emel Mathlouti le 18 décembre prochain dans un live retransmis sur les réseaux de la Fondation Cartier.
Visuel © Hédi Jouini