Du 16 au 20 février 2022 à Paris, se tiendra le FAME Festival, un festival international dédié aux films sur la musique.
Le FAME Festival est de retour à la Gaîté Lyrique à Paris pour 5 jours de projections, de rencontres et d’échanges autour des pratiques audiovisuelles qui nous animent et des dernières productions à ne pas rater. On aura l’occasion d’y visionner une vingtaine de films sur la musique, mettant à l’honneur nos cultures électroniques, souterraines ou extra-occidentales. Une ouverture internationale pleinement assumée.
Explosion du nombre de productions, de l’intérêt général, de la pluralité des thèmes et mouvances abordées… Le film et documentaire musical connaît actuellement un essor remarquable. Un avènement pour le FAME Festival qui prend toujours plus de sens aujourd’hui, bien que la nécessité de son existence datait déjà d’hier. Une occasion alors d’y dévoiler de nombreux films en exclusivité.
Le « [Dé]voilement », c’est justement le thème de cette 8ème édition du festival, qui s’inspire d’une impression de trop plein visuel, de déflagration numérique. Un thème qu’on va pouvoir creuser à travers une expérience qui se prolonge. Car en effet, en plus des projections, on vous parle de rencontres avec FAME LAB, de performances FAME LIVE et DJ sets en accès libre FAME PARTY.
Bref, on ne peut que vous recommander d’aller y faire un tour.
Ils viennent d’ailleurs de dévoiler leur programmation.
Film d’ouverture :
Why Versailles? – de Marc Collin
En compétition :
Poly Styrene: I Am A Cliché – de Paul Sng & Celeste Bell
Rumba Rules, nouvelles généalogies – de David N. Bernatchez et Sammy Baloji
Alone Together – de Bradley Bell et Pablo Jones-Soler
Bakolo Music International – de Tom Vantorre et Benjamin Viré
L’Énergie positive des dieux – de Laetitia Møller
Living With Imperfection – d’Antoine Polin
Hard ♡ – de Kevin Elamrani-Lince
In My Own Time: Karen Dalton – de Richard Peete et Robert Yapkowitz
The Rumba Kings – d’Alan Brain
Hors compétition :
Freak Scene – The Story Of Dinosaur Jr de Philipp Reichenheim
A Symphony Of Noise – Matthew Herbert’s Revolution de Enrique Sánchez Lansch
Le Boug Doug – de Théo Jollet
Vikken – de Dounia Sichov
Emmanuelle Parrenin, d’une maison l’autre – de Marie-Elise Beyne
Queen Lear – de Gero von Boehm
Poni Hoax: Drunk In The House Of Lords – de Matthieu Culleron et Pierre Chautard
Hors les murs (au Centre Wallonie-Bruxelles) :
Mirano 80 – L’espace d’un rêve – de Luc Jabon, Thomas et Purcaro Decaro
Première projection parisienne du film suivie d’une soirée Mirano Mind, suivie d’un concert de Mathilde Fernandez et d’un DJ set d’Olivier Grosseries dans les vestiges du club mythique Mirano Continental.