Un pet malodorant permet la saisie de 12 000 livres de cannabis.
On dirait une blague vaseuse, et pourtant.
A Leicester, une voiture de police patrouille tranquillement. Mais un des policiers à l’arrière, dont on est ravis de savoir qu’il suivait un régime à base de protéines, a de telles flatulences que ses collègues, hilares, sont obligés d’aérer la voiture. Or en ouvrant les fenêtres les officiers sentent une forte odeur de cannabis. Ne suivant que leur instinct, ils se laissent guider par l’odeur et tombent nez-à-nez avec une plantantion, 200 mètres plus loin.
Un pet et une info qui valent de l’or.