Cérémonie de remise du plus sérieusement absurde des prix littéraires, en public et en direct, à bord de la péniche Grande Fantaisie.
Content comme pas deux : le Prix de la Page 111, le plus sérieusement absurde des prix littéraires, notre Goncourt à nous, sera remis cette année dans un lieu superbe, unique et flottant, dont le nom lui-même est très approprié à l’événement : Grande Fantaisie, péniche amarrée face au 3 quai de l’Oise, Paris.
Créé sur Nova en 2012, ce prix récompense chaque année la meilleure page 111 de la rentrée littéraire francophone. En considérant cette page comme une œuvre d’art à part entière, du premier au dernier mot, du premier au dernier signe de ponctuation. En analysant cette page avec des techniques de pointe, en évaluant le style, le vocabulaire, la psychologie des personnages, la qualité des dialogues, son succès potentiel à l’export…
Rendez-vous à bord le jeudi 11 octobre, de 21h à 23h, en public et en direct sur Radio Nova, pour une cérémonie qui ne manquera pas de profondeur, façon Yellow Submarine sur le canal de l’Ourcq.
Choisies parmi plus de 211 pages 111, les 11 pages finalistes seront révélées le 8 octobre. Et le nom du vainqueur…proclamé après 111 minutes de débats sauvages.
Avec un jury resplendissant : Marguerite Demoëte , Richard Gaitet, Bertrand Guillot, Guillaume Jan, François Perrin, Aude Samarut – et un petit nouveau, l’impitoyable Victor Pouchet, remarqué l’année dernière pour son roman « Pourquoi les oiseaux meurent ».
Sans oublier le Wu-Tang Clan de la lecture à voix haute : Tania Dessources, Ngiraan Fall, Sophie Garric , Julien Goetz, Judith Margolin et Xavier Valoteau.
Entrée libre. Venez donc, bande de pirates.
Précédents lauréats :
2017 : Mika Biermann pour Roi. (éditions Anacharsis).
2016 : Jacky Schwartzmann pour Mauvais coûts (éditions La Fosse aux Ours).
2015 : Pierre Senges pour Achab (séquelles) (éditions Verticales).
2014 : Antoine Volodine pour Terminus radieux (éditions du Seuil).
2013 : Alain Julien Rudefoucauld pour Une si lente obscurité (éditions Tristram).
2012 : Jakuta Alikavazovic pour La Blonde et le Bunker (éditions de l’Olivier).