Les 8 et 9 juin derniers, pour la deuxième saison du Naturalia Bio Market, Nova a posé ses micros à La Rotonde Stalingrad pour une émission spéciale.
Pour sa deuxième saison, le Naturalia Bio Market s’est intéressé aux nouvelles façons de consommer et a su ravir corps et esprit. Pour l’occasion, notre antenne s’est installée au beau milieu du grand marché bio à ciel ouvert, La Rotonde Stalingrad. Entre DJ set, cagettes du stand primeur, fromage frais et charcuterie du stand traiteur, nos journalistes Côme Bastin, Armel Hemme et leurs invités ont parlé mode, appareils électroniques, architecture et alimentation, les 8 et 9 juin derniers. Retour sur l’émission spéciale en direct du Naturalia Bio Market, avec comme invités :
– Marine Libaud (site Back Market)
– Alexandre Debreucq (le Jardin des Bennes)
– Marie France de Crécy (école Casa 93)
– Alexis Cohen (appli Karma)
– Sidonie Tagliante (marketing et communication de Naturalia)
– Antoine Aubinais (Bellastock)
Les Français sont-ils sensibles à l’environnement ? À en croire les sondages, pas vraiment. Alors, pour l’occasion, Nova est descendue dans la rue, voir si les habitants de l’Hexagone étaient éco-friendly ou, au contraire, de mauvais élèves du recyclage.
Les villes concentrent 80 % du PIB mondial. Nous sommes 55 % à vivre en ville sur cette planète. Cela fait aujourd’hui presque 4 milliards d’urbains… et autant de pollueurs. Les villes pèsent au moins pour 70 % des émissions de Co2 dans le monde. Il y a donc urgence à trouver des solutions pour mieux consommer et vivre en ville. C’était le thème de notre table ronde dimanche 9 juin, car la mégapole parisienne ne fait pas exception à la règle !
Table ronde animée par Côme Bastin, avec comme intervenants :
– Kaduna Demailly, Maître de conférences en géographie à l’Université Paris 8 et membre du laboratoire Ladyss
– Sarah Msika, fondatrice de Cultivate qui va déployer une ferme urbaine géante sur les toits de Paris
– Hugo Meunier, cofondateur de Merci Raymond, startup qui s’emploie à revégétaliser les villes
– Julien Adda, directeur du Réseau Cocagne, association d’insertion sociale par le maraîchage
– Mathilde Geoffrey, membre de la cité Fertile, un village écologique installé à Pantin
– Romain Minod, de l’association d’architecture solidaire et participative Quatorze.