La pluie dehors. Et le soleil dedans.
Du reggae, oui, mais un reggae hybride, made In London, tout droit sorti de la tête, des rêveries, des états d’âmes et des influences de cette jeune chanteuse anglaise bien connue de cette antenne : j’ai nommé Miss Hollie Cook, avec nous ce matin pour nous présenter en exclusivité son troisième album, Vessel Of Love – Le Navire de L’amour.
Une plongée donc dans les abîmes de cette enfant de la balle, immergée dans la musique depuis son enfance, papa batteur des Sex Pistols, maman chanteuse des Belles Stars et parrain, Boy George, Fondateur de Culture Club. Et pourtant depuis maintenant dix ans, Hollie Cook trace sa route toute seule, avec une vision éclairée et tout à fait atypique aussi bien dans ses textes que dans ses compositions.
La base est donc bien entendu reggae, mais le reste est un savant mélange aussi indescriptible qu’envoutant, très mélodique, un peu psyché, cosmique, cotonneux et parfois mélancolique. Un concentré de l’histoire musicale de l’Angleterre depuis trente ans où le punk et la soul se sont toujours acoquinés avec le reggae.
Hollie Cook vient tout juste d’arriver à Paris, c’est la première fois qu’elle présente live des morceaux de ce troisième album en France, elle est venue au complet accompagné de son groupe General Roots.
Hollie Cook, elle sera également en live le 21 février au Pan Piper à Paris, puis un peu plus tard, dans le cadre du Printemps de Bourges.