Le 8 mars, c’est la journée internationale des droits des femmes. À cette occasion, on a voulu parler des clichés qui perdurent sur la relation entre femmes et maths et les conséquences de ces clichés.
Véronique a rejoint l’association Femmes et mathématiques en 1995, quand elle constate qu’elle n’a que deux jeunes élèves en bac S spécialité mathématiques sur une trentaine d’élèves. Et cette désaffection se constate de nouveau aujourd’hui avec la dernière réforme du baccalauréat adoptée en 2019 : de moins en moins de lycéennes choisissent les mathématiques en première et en terminale, depuis que l’on peut composer son baccalauréat à la carte. Elle tente donc de lutter contre les clichés autour des filles et des mathématiques pour que ces dernières aiment les maths et ne se privent pas de perspectives d’avenir. On l’a rencontrée à l’Institut Henri Poincaré, haut lieu dédié aux mathématiques.
Crédit image : brochure « Filles et maths/info : une équation lumineuse », septembre 2020.